La baraka de Dieu

Hier, j’ai eu la chance de rencontré un homme « différent », 

le descendant d’une grande famille de Soufi.

Cet homme me faisait l’honneur de partager une histoire au sujet de son père.

Homme spirituel et commerçant, il fût sollicité pour accompagner un de ses clients dans la ville voisine.

Après quelques minutes de négociations et de résistance à quitter sa zouïa.

Un lieu de culte soufi dédié à un homme saint.

Il accepte.

 

Les voilà arrivés dans une grande villa où se trouve un homme moribond.

Paralysés depuis des années, il avait tout essayer pour guérir

depuis la sciences des Amériques ou rebouteux du coin.

Le client assista afin que le grand homme bénisse le malade.

Le soufi consentit à faire une bénédiction au monsieur paralysé.

De retour dans leur ville, il reprend ses activités

entre la zouïa, son commerce , sa famille.

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Quelques semaines plus tard, le même client le sollicite à nouveau.

Il lui demande de retourner dans la même maison.

Le saint homme s’y refuse , puis il cède devant tant d’insistance.

La porte à peine ouverte,

une multitudes de femmes malades demandaient à recevoire sa bénédiction.

Le saint homme en était lui-même très surpris…

encore plus lorsqu’il vit le monsieur paralysé debout.

En signe de remerciement, l’ancien malade annula la dette du client

qui lui avait ramené le soufi et la santé

de « 16 milliounes de dirhams » (c’est beaucoup d’argent).

 

Le client est toujours en vie.

Il peut toujours témoigner de la Véracité de cette histoire.

Attention de bien comprendre, le chef de confrérie était un homme très pieux.

Sa foi lui a conférée la force nécessaire à canaliser la baraka de Dieu.

 

Je vous transmets cette anecdote à laquelle je crois.

La quète de ma vie est de rechercher les signes de DIeu

à travers toutes les religions.

Je vous invite bien sûr à conserver votre propre discernement.

 

 

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